Test de préoccupation à l’égard du poids

Nous ne ressemblons pas tous à Brad Pitt ou à Sophie Marceau…mais est-ce bien nécessaire?

Nous avons chacun un physique particulier, unique et beau si l’on apprend à le regarder avec franchise et bienveillance.

Perdre des kilos ne nous aidera pas à rallonger nos jambes, à affiner nos grosses articulations, à avoir des hanches plus étroites ou obtenir ces abdos en tablette de chocolat. Certains ont la morphologie pour, d’autres non!

Mais le problème ne se situe souvent pas sur la balance. Il semblerait plutôt se situer dans notre regard, celui que nous portons sur notre corps.

Mes propos vous surprennent? Pas tant que ça, vous allez voir.

Comment l’image du corps impacte le poids

Il ne vous étonnera peut-être pas d’apprendre que les gens qui sont insatisfaits de leur corps tendent à se préoccuper beaucoup de leur poids – et que cette préoccupation les pousse souvent à entamer des régimes.

Plus les personnes ont un niveau élevé de préoccupation à l’égard de leur poids, plus elles tendent à avoir des comportements inadaptés à leur situation, des méthodes d’amaigrissement drastiques, des diètes déséquilibrées. Différentes tactiques qui se révèlent souvent mauvaises pour la santé, ne font perdre du poids que pour un temps…et entretiennent à un niveau encore plus élevé ce taux de préoccupation à l’égard du poids.

On parle d’une relation de réciprocité qui existerait entre l’image du corps et le poids.

Les personnes qui ont de faibles niveaux de satisfaction corporelle ont moins de succès, quand elles cherchent à maigrir, que les personnes relativement satisfaites de leur corps.

Évaluez votre degré de préoccupation à l’égard de votre poids

Charlotte Marckey défend cette idée dans son livre au titre un peu provocateur, Les gens intelligents ne font pas de régimes: il est plus facile de perdre du poids lorsqu’on entame cette démarche dans un état d’esprit positif et plutôt apaisé par rapport à soi-même.

Acceptez l’idée de travailler autant sur votre mental que sur votre corps.

Le Test de préoccupation à l’égard du poids est un questionnaire utilisé par les chercheurs en psychologie. Il sert à mieux comprendre les sentiments que les participants des études ont concernant leur poids.

Répondez aux questions, additionnez vos points, puis lisez l’interprétation de votre score. Soyez honnête avec vous-même, personne d’autre que vous n’a besoin de voir vos réponses:

1) Par rapport aux autres personnes de votre âge, pensez- vous vous inquiéter pour votre poids et votre silhouette…
0. Beaucoup moins qu’elles ?
1. Un peu moins qu’elles ?
2. À peu près comme elles ?
3. Un peu plus qu’elles ?
4. Beaucoup plus qu’elles ?

2) Que vous inspire l’idée de prendre un ou deux kilos ?
0. Ça ne me fait absolument pas peur.
1. Ça me fait un petit peu peur.
2. Ça me fait peur.
3. Ça me fait très peur.
4. Ça me terrifie.

3) Vous est-il déjà arrivé de suivre un régime ?
0. Non.
1. Une fois.
2. Plusieurs fois.

4) Par rapport aux autres aspects de votre vie, vous diriez de votre poids…
0. Qu’il n’a aucune importance.
1. Qu’il a un peu moins d’importance.
2. Qu’il a autant d’importance.
3. Qu’il a plus d’importance que la plupart, mais pas de tous les aspects de ma vie.
4. Qu’il est la chose la plus importante de ma vie.

5) Avez-vous le sentiment d’être gros(se) ?
0. Jamais.
1. Rarement.
2. Parfois.
3. Souvent.
4. Toujours.

Votre score : plus le score que vous obtenez est élevé, plus votre degré de préoccupation à l’égard de votre poids est élevé. Dans les études que Charlotte Marckey a menées chez des femmes âgées de vingt à quarante ans, elle a le plus souvent relevé des scores moyens de 8 points. Il est admis que le score « sain » est inférieur à 6.

Alors, quel est votre score ? Même s’il est au-dessus de la moyenne (8), c’est-à-dire si vous vous angoissez davantage pour votre poids que vous ne le voudriez, vous pouvez tout à fait transformer votre insatisfaction en satisfaction et accepter ce magnifique corps unique dont la nature vous a doté.

Je ne vous dirais pas que c’est simple, notre société est aujourd’hui obsédée par l’apparence physique, les diktats de de la minceur et de la perfection. Mais c’est là que la nutrition intégrative apporte sa pierre à l’édifice, nourrissez vos nourritures primaires, et vous serez libres du regard des autres, en tout cas moins dépendant.e.

Relâchez la pression!

La plupart d’entre nous sommes étudiants, parents, adultes occupés par nos carrières, nous avons des rôles et des responsabilités qui nous empêchent de passer l’essentiel de notre temps à penser à notre corps et à notre poids. Et c’est bien comme ça!

La vie est beaucoup trop courte, et trop riche, pour la consacrer à s’obséder pour sa silhouette. Apprenez simplement à retrouver un équilibre de vie plus sain, une alimentation plus saine. Les choses simples sont souvent les meilleures.

Et si vous souhaitez travailler sur cet équilibre entre vos nourritures primaires et vos nourritures secondaires, rencontrons-nous, je me ferai un plaisir d’échanger avec vous de vous accompagner sur la voie du ré-équilibrage alimentaire et de la nutrition holistique.